• Je ne suis pas qu'une peinture, qui trône là au-dessus d'un mur
    Je suis une femme qui recherche l'amour, une « femme » d'âge mûr.

    Fini pour moi de rester collée au milieu de ce tableau,
    Fini pour moi de me laisser mener en bateau.

    Besoin de prendre l'air, d'aller beaucoup plus loin
    Besoin que l'on me prenne, que l'on me guide si besoin.

    Il faut que j'arrive à m'en décoller, même si avec peine
    Il faut que j'arrive à m'envoler de mes propres ailes.

    Je ne veux plus être cette «vulgaire peinture » !!


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  •                      Le chien...

    Cocker ou Saint bernard,
    il nous offre la chaleur de son regard.

                        Teckel ou Dalmatien,
                        son dévouement est quotidien

    Caniche ou Fox terrier,
    on peut compter sur son amitié.

                        Bouledogue ou Bichon,
                        il nous donne son affection.

    Berger ou Espagneul,
    avec lui on n'est jamais seul.

                       Qu'il soit petit ou grand, fin ou fort,
                       Avec son pedigree ou sans noblesse particulière,
                       il nous apporte le réconfort...

    Il chemine près de nous,
    compagnon de route in-fatigable,
    complice joyeux et tout-fou,
    c'est un joueur inlassable.

                       Fidèle ami de l'être humain
                       depuis toujours,
                       donnons lui à notre tour,
                       tout simplement notre amour.

     


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  • Hier j'étais sur un univers rempli de désespoir...

    Une seule chose me trottait dans la tête, « le suicide ».

    Après les maintes et maintes critiques et insultes des miens hier soir,(parce qu'ils ne veulent plus me comprendre), prise alors d'un coup de folie, je me suis lancée, cœur et âme perdue dans mon auto, et je me suis mise à conduire, sans vraiment savoir, comment j'allais m'y prendre.
    Une seule solution, les carrières.

    Mais avant j'avais pris la peine, de mettre des messages d'appels au secours sur « msn » à Topo' sans savoir s'il y était à ce moment.
    Arrivée pas très loin de ma psy, je m'étais arrêtée en pensant lui demander de l'aide !!

    A ce moment mon Gsm s'est mis à sonner, une seule personne pouvait s'intéresser à mon sort, oui, c'était Bernard. Il essaya en vain de me calmer un peu, il venait à mon secours, cent mètres me séparait de lui et de ma psy.
    Je ne pouvais plus conduire de toute façon, je n'y voyais plus et de plus je tremblais, tremblais,... j'étais terrorisée, mais déterminée.

    Tout en me parlant via son Gsm, il arriva, il me prit dans ces bras, il en était désemparé.(Je ne voulais pas lui faire de la peine). Seules ces paroles me firent convaincre de reculer mon geste.
    Il voulait comprendre, mais je ne savais parler,...

    Après trois heures de parler, de dires, d'écoute,... je décidai de retourner chez moi en lui promettant de ne pas faire ce « geste ».
    On est ici dans une région où il n'est pas possible de trouver un hôtel si tard, sinon je ne serais pas retournée chez moi.

    Mais pensez-vous  qu'une seule personne s'était inquiétée de mon absence subite ?

    Et bien NON !!
     

    Tous dormaient tranquillement et, si je m'étais « suicidée », ils ne s'en seraient même pas rendu compte, vous vous imaginez !!

    J'ai pu revoir Bernard ce jour, et cela m'a redonné du courage.
    Mais jusqu'à Quand ??



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  • Hier, j'étais un peu « chiffon ».

    Pleins de mauvais souvenirs me sont revenus dans ma mémoire.
    Ce 17 octobre, cela faisait un an que j'avais été opérée pour la première fois. Une journée entière en salle d'opération.

    De ce fait, je me suis remémoré toute la souffrance que j'avais pu endurer, celle-ci est restée ancrée en moi et je pense que jamais je ne pourrais oublier, ni l'écarter, c'est comme si je la vivais encore ce mercredi. Cette torsion dans le ventre, dans le corps, inimaginable, inexplicable, et bien « hier », elle me harcelait de nouveau, comme une punition, un châtiment.

    Si bien qu'en un an, la nourriture me fait encore défaut, lorsque j'avale, j'ai l'impression que ce mal va me revenir. Et je ne me tiens à presque rien pour vivre, juste ce qu'il faut pour que je ne sombre pas et que l'on ne doive pas me remettre à l'hôpital.

    J'ai pu aussi constater que durant toute cette année personne n'a jamais voulu comprendre ma situation de « souffrance ».

    Si ces personnes auraient eu mon corps ne fut-ce qu'une demi-heure !!
    Là, ils auraient pu imaginer et de ce fait moins me critiquer. Mais M'aider.

    Je sais que beaucoup d'entre vous diront, pourquoi remémorer ce passé ? Vis...



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  • Pourquoi je suis toujours dans mes Souvenirs ??

    C'est parce qu'on :

     - ne m'a jamais donné de projet d'avenir...

     

     

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