• " Dépasser le passé, toute une Histoire " !!


     

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  • En ce jour d'Epiphanie" ...

    Trop de remous pour pouvoir manger la galette,

    Je ne serai pas "la reine" !!



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  • Suis pas bien.

    C'est toujours pareil, à chaque fois que l'envie me prends de m'amuser et bien oui le lendemain je suis « malade » !!
    On est que le 6 janvier et déjà je me suis tapée deux jours de lit. Un jour après l'an nouveau et un ce jour.
    Pfff...tout cela parce que je mange un peu !!

    Par exemple hier : je n'ai pas déjeuné, je n'ai pas diné, j'ai juste mangé trois toast avec un peu de fromage, tout cela car non seulement je n'ai pas faim, je n'en ressens pas le besoin, et de plus au soir j'étais conviée à un repas. Donc je devais faire honneur !!

    Rien de bien gras, chicons braisés, petite salade composée, un petit bout de rôti (je n'aime plus la viande) et un soupçon de sauce champignons, accompagné de vin. Et un petit alcool par la suite. On ne peut pas dire que j'ai exagéré ??  
    Et ce jour mon estomac me fait défaut, de plus je ne sais vomir, et tout reste là !!
    Je suis abattue, comme grippée...
     
    ... et toujours cet interminable  « mal de dos » qui me lasse, je n'ai plus le choix demain direction l'hôpital pour voir le médecin, j'ai besoin de piqûres. Ma jambe se rendort, elle s'affaisse...
    Et là de nouveau, suite aux soldes, que je me suis accordées de "faire", pour me distraire !!

    Vraiment je crois que je vais re-sombrer dans la dépression.
    Comment encore vivre convenablement si je ne puis plus manger ni me promener ??



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  • Voulant profiter de la mer calmée,

    la capitaine désire que son bateau quitte le port pour un nouveau voyage fait de joies, de bonheurs et de fantaisies. Un peu comme une croisière où tous seraient conviés à faire la fête.

    Son bateau ne peut plus sombrer !!

    Au lointain, un phare éclaire sa route, elle doit avancer encore et encore... et atteindre son but, le but qu'elle s'est fixée, celui d'une vie plus épanouie et plus enrichissante.
    En calculant bien la force des vagues, car une trop « grosse » la ferait couler et une trop « petite » la ferait rester sur place.


    Ohé !! Ohé !!

    Tous à bord, levez l'ancre !, la capitaine re-commande, elle reprend la barre et, si son commandant la suit, elle dirigera dorénavant, car c'est elle qui sait quel chemin prendre, oui la « capitaine » ordonne que ce bateau soit mené à bon-port en toute sérénité, sans embuches.

    La voile se repliera alors, tout doucement mais sûrement... sur le passé ...
    Et se dépliera vers un futur meilleur.


    Un futur qu'elle veut fructifiant.

    « Un oiseau veille sa route, cet oiseau est celui de l'espoir, il ne voit pas la vie en noir. »



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