• Pas facile d'oublier.

    Par lasaxophoniste dans Tristesse d'une femme le 29 Février 2008 à 14:32

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  • l'immensité qu'est...la mer.

    Par lasaxophoniste dans La Vie.... le 28 Février 2008 à 18:23


    "je crois que l'esprit souffle sur le monde comme le vent sur la mer.Si nous voulons que l'esprit soit efficace, il faut ouvrir la voile toute grande et placer notre navire dans la bonne direction."

    (jean rey)

                          ET

    "Si tu veux construire un navire, ne rassemble pas les gens pour recueillir du bois, éveille plutôt en eux l'immensité de la Mer."

    (Antoine de saint-Exupéry )

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  • Je ne suis pas gentille...??

    Par lasaxophoniste dans FANFARE.....joyeuse le 27 Février 2008 à 21:23



    "j'essaie mais,

     

     je ne veux pas,

     

     ou je ne sais pas !! comprendre

     

     et pourtant !!"

     

     

     

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  • Ces rêves ... turbulents

    Par lasaxophoniste dans Détresse le 26 Février 2008 à 22:20

    Chaque nuit, non dirais-je plutôt chaque petit matin, aux alentours de 7h du matin, je rentre dans des rêves pas possibles.

    Par exemple :
    - une fois j'ai rêvé que je dormais ici dans l'appartement, dans la petite chambre, que je regardais par la porte, mais qu'il m'était impossible d'en sortir. Toute une série de sacs plastiques se trouvaient sur le passage et voulaient m'en empêcher, voire même m'étouffer.
    ( cœur battant la chamade, vraiment je ne respire plus )

    - une autre fois, j'étais dans l'ascenseur, une personne m'a demandé d'y monter ses deux chiens, ce que je n'ai bien sur pas refusé, car que ne ferais-je pas pour rendre service. La porte étant fermée, j'y appuyai donc sur le bouton "appartement premier étage". Là, tout à coup, les chiens ont commencé à s'agiter, à vouloir me mordre ; j'essayais de les éviter et puis, plus possible d'accéder à l'entrée de mon chez moi. Ils m'en empêchaient. On aurait dit que la personne qui m'avait confié les chiens l'avait fait exprès. (Pas vu de visage)

    - ce petit matin, je voulais rejoindre ma troupe de musiciens pour un concert. Arrivée devant un grand bâtiment, je poussais chaque fois une porte, et à chaque fois je n'étais pas là où j'aurais dû me trouver. Une fois j'étais au magasin d'alimentation, une autre fois dans un magasin de vêtement pour bébé (Pampers, etc ...), ensuite dans une salle de classe, puis dans une cantine, ... etc... et à chaque fois s'y trouvait une personne que je connaissais bien et qui se moquait de moi. J'en étais épouvantée de ne pas retrouver la bonne porte, celle qui me mènerait à mes amis. C'était un dédale de couloirs infinis.

    Alors a chaque fois, je crie, je crie, je ne sais plus où j'en suis et j'en pleure.

    Heureusement que je ne suis pas seule, Topo' vient vite me rejoindre afin de me réveiller, mais cela lui prend plusieurs minutes, car on dirait que je ne veux pas sortir du rêve, mais il fait tout pour. Je me réveille, perdue, paniquée.


    Mais que peuvent bien me dire tous ces rêves ?

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  • Retirer ce Voile qui plâne.

    Par lasaxophoniste dans Ce Dimanche... le 25 Février 2008 à 21:08
    (photo perso Saxo)


    En ce dimanche carnavalesque, ...

    ... il m'a invitée chez ses parents, j'étais un peu, voire même Très anxieuse, angoissée.
    J'ai franchi la porte avec « lui ». Un petit bonjour timide est sorti de ma bouche, ainsi qu'une poignée de main.

    Pensez-vous, pas facile non plus pour eux, plus vieux, de devoir s'habituer à une autre compagne, et ce après 22 ans.

    Cependant, petit à petit, je me suis sentie décontractée, le papa surtout m'a mise à l'aise. Et comme de bon vieux gens qui vous rencontrent pour une première fois, afin de détendre l'atmosphère, il m'a montré les photos souvenirs de la petite enfance, de leur garçon chéri et unique. Dans son regard, j'ai pu apercevoir de la joie, et du bonheur.

    La visite ne devait durer plus d'une demi-heure, car un cortège carnavalesque nous attendait. Exclusivement, j'écoutais son père avec grande affection, la maman ne parlait presque pas, n'étant pas bien portante, elle écoutait. Seulement, c'est avec cœur qu'elle nous a servi un verre de vin.

    J'en suis très émue, car, de mon côté, mes parents, presque 15 ans plus jeune qu'eux, ne peuvent et ne veulent comprendre et cela me rend « triste et malheureuse » de leur position.
    Je sais qu'il est dur de savoir leur fille avec un autre conjoint, mais qu'y puis-je ?
    Le destin, ma destinée !!

    Pourtant, ils se rendent bien compte que je vais un peu mieux, ils devraient en être soulagés, sans pour cela bien sur oublier mon mari. Il mérite aussi que l'on s'occupe de lui, mais j'ai confiance en ma mère, enfin, de nouveau, elle peut s'occuper et pouponner (c'est mon expression telle que je la perçois) et cela lui va très bien, sinon, elle s'ennuierait et dépérirait.

    Et puis, lui ne demande pas mieux, car sa mère ne s'est jamais occupée de lui et je crois que cela lui a manqué énormément. Donc, si je veux un peu interpréter ce que je dis, mon mari aime ma mère plus qu'il n'a aimé la sienne. Normal, il est dans sa vie depuis l'âge de la maternelle.

    De plus, vous allez en rire, mais mon mari et moi-même sommes « cousins germains », c'est fou !! Et bien oui, sa grand-mère et mon grand père étaient frère et sœur. Ahhh ... ces villages.

    N'empêche que c'est main dans la main, avec "lui"(l'autre) que j'ai affronté pour la première fois le regard de la foule, en ce dimanche de fête.

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