• Ce dimanche 9 mars...
    Après cette belle journée qu'était ce samedi journée de la «  femme »,  Oui, j'ai pu encore me battre et franchir une étape. (Une nouvelle journée, fructifiante d'émotions)

    Cette nouvelle étape fut très dure à accomplir mais j'y suis parvenue... c'est fou ce que j'arrive à faire ces derniers temps ! Je ne m'en croyais pas capable !!
    Et bien j'ai affronté le « regard des musiciens » avec mon ami ... et sans mon mari !! Wouawww. Ce fut pour moi quelque chose de très duuuuuuur...
    Seulement, Oui j'y suis arrivée. ARRIVEE.

    Pourtant toute énervée, déjà, je m'étais trompée de route. Faut dire que d'habitude, c'était mon homme qui conduisait, donc je n'avais aucune notion de la distance, du chemin. Mais ici, j'ai du me prendre en main, et j'ai du, de moi-même, faire le pas de cette route, de ce trajet à travers ces champs, ... et... j'y suis arrivée. Ce n'est pas possible !!

    Comme j'ai changé en si peu de temps, je reprends petit à petit confiance en moi.
    J'ai franchi le premier pas... j'ai ouvert cette porte, j'ai aperçu mes amis et je me suis dis...  "maintenant que j'y suis, plus le choix, je n'ai plus le droit au recul, et si l'on ne m'accepte pas alors j'aurai compris que ma place n'est plus parmi eux".

    Je me suis avancée comme à l'habitude et je leur ai dit bonjour puis, timidement, me suis approchée de mon pupitre. J'ai bien vu qu'au départ les gens se sentaient mal à l'aise, mais un peu à la fois ils ont réussi à me parler, à dialoguer. Et subitement, moi aussi je me suis sentie bien. Très bien même et j'ai pu jouer à l'aise. Cool ...
    Devant moi, je pouvais discerner tout un public, et notamment « Une » personne en plus, qui je crois ne se sentait pas à l'aise non plus mais qui a su gérer la situation. Oui je l'admire. Je peux imaginer ce qu'il pouvait ressentir, du fait que moi-même vivais une telle situation.

    Après notre prestation, je l'ai retrouvé, et l'ai timidement présenté à un membre, les autres l'avaient repéré mais n'en ont rien dit. Un dernier verre, nous nous sommes dirigés vers la sortie, moi comme à l'habituel, j'ai dis au revoir et machinalement, des membres de "la musique" se sont avancés afin de lui dire au revoir via une poignée de main très sympathique.
    C'est fou... jamais je n'aurais pu imaginer une chose pareille, jamais.
    Je crois, oui, qu'ils ont compris et que tout doucement mais surement, il sera accepté.
    Une étape forte de ce moment de ma vie ... de notre vie.

    Ce weekend a été RICHE au point de vue sentimental et d'acceptation.
    Un pas de plus dans ma « putain » de vie.
    Non, je ne regrette rien, rien, rien, .... J'ai juste osé.



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    27 commentaires
  • (photo perso Saxo)


    Et qui dit "Journée de la Femme" !!

    Dit REPOS pour la femme.

    Alors, ce jour, je me prélasse. NA.


    - Topo', tu peux aspirer le salon ?

    - Topo', il y a la vaisselle à faire !

    - Topo', quand est-ce qu'on mange ?

    - Topo', tu as été promener le chien ?

    - N'oublie pas non plus le lotto, les sacs poubelles...



    Héhé !! Ben oui quoi, j'en profite, Moi !

    Pensez-vous : une Seule

          "Journée pour la Femme" !!


     (SUITE
    CLIC ICI !)

     

     


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  • j'ai bien l'impression d'avoir pris un coup de froid hier !!

    Depuis ce matin,

    - mon nez coule

    - je mouche, renifle...

    - atchoum par-ci,atchoum par-là !

    Brefff, c'est p'têt parce que j'avais oublié de mettre, mon "damar"?

     

     

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  • (photo perso saxo)


    Cet après midi, d'ici quelques minutes, je traverse et je pars me ressourcer à Bruxelles avec Topo', il m'invite à une expo sur son lieux de travail. Donc je vous dis a tout à l'heure....viiiiite, je dois traverser la rue et hop...dans le train que vous voyez là en face, derrière le bus.
     



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  • Je Souffre Beaucoup,
    ... pleins de Fantômes me hantent depuis que je suis partie.
    Je voudrais tant qu'ils me quittent et qu'ils me laissent enfin vivre en paix.
    Sinon, ma vie sera une rature totale, et mon moral, ne pourra plus remonter la pente.
    Et si je continue à descendre cette pente, je ne répondrai plus rien de ma vie.

    Je Souffre :
    - du regard des autres 
    - des paroles blessantes de ma mère.
    - du non respect des enfants
    - de ma solitude incessante, face à mon destin.
    - de ne pas savoir aller de l'avant
    - de ne pas savoir m'en foutre
    - de ne pas être consolable...etc..etc...

    Cette souffrance qui erre en moi est dure, dure...à gérer, et cette souffrance de « la tête, de l'esprit » se transmet à mon corps, d'où un Combat éternel.
    L'éternel destin de l'adulte responsable !!
    Je souffre de douleurs physiques et morales, mais personne ne veut le voir et l'admettre.


    Crises obsessionnelles de Culpabilités internes.





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