• "Un Dimanche tout en fleurs, est mieux...

     qu'un Dimanche tout en pleurs"

     

     


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  • A l'approche de la quarantaine : que se passe-t'il donc ?

    Les hommes en général « masculins ou féminins », se rendent compte qu'ils ne sont pas si heureux que cela. Les objectifs qu'ils auraient voulu atteindre n'y sont pas et se rendent compte que jamais ils n'y arriveront.
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    D'où la crise.
    « La crise résulte du choc entre vos fantasmes et la réalité, vous commencez à avoir une conception plus réaliste de vous-mêmes. »


    On commence à être lucide et voit ses rêves et fantasmes de jeunesse qui s'évanouissent. On n'a pas la vie qu'on aurait souhaitée et l'on est trop âgé pour se relancer.

    On voit son corps ramollir, ses capacités physiques et intellectuelles décliner.
    La routine pèse, on se sent pris au piège, on étouffe et on soupire après un idéal « de liberté de voyage, de fuite plutôt ».

    On tente tant bien que mal de faire face à l'agression du temps ; on veut se faire teindre les cheveux, porter des vêtements de jeunes, se mettre au régime, prendre des vitamines et se mettre à l'entraînement.


    Les problèmes sont aussi d'ordre psychologique.
    Voyant ses forces diminuer, on se met à déprimer... plus de jeunesse. On perd goût au travail.
    Cela mène parfois jusqu'au suicide.

    En ce qui concerne celui qui a décidé de vivre pour lui-même :

    On doit tout d'abord prendre conscience que l'on s'est déjà tant dépensé pour sa famille, sa compagne, son compagnon, que l'on ne se donne pas le droit de se centrer sur nous-mêmes pour poursuivre la réalisation d'un rêve.


    En ce qui concerne celle ou celui qui est tombé dans la déprime, la compréhension bienveillante de son entourage (la famille, les amis) lui sera d'un grand secours pour l'aider à accepter avec sérénité son vieillissement.

    <o:p> </o:p> 

    Pourquoi doit-on vieillir ??

    <o:p> </o:p> « La vie s'arrête-t-elle à quarante ans ? »



     

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  • (photo perso saxo... c'est LOUIS )



    Être lasse de tout... "lassée". 

    Toutes ces nuits sans dormir... "endormie"

    Les tracas assomment... "fatiguée"

    Rien de tel que de s'allonger.

     

    Je suis lasse de tout sauf d'être:

     

             "Caressée".

     

     

     

     


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  • Il était Minuit 12 cette nuit et je ne parvenais pas à dormir (En pleurs).

    Je craque, je me sens de nouveau perdue, loin de tout.
    Aujourd'hui, je suis allée signer un contrat « de bail de location » et ce pour un an minimum ; je n'ai pas eu le choix pour moi être en règle avec la loi, étant donné que je suis toujours mariée.

    C'est très pénible pour moi.

    Cela fait maintenant deux mois et demi que j'ai quitté le domicile conjugal pour venir habiter en appartement avec Gabriel. Mon temps d'adaptation fut long et est encore fort pénible.
    J'ai été de cauchemards en cauchemards, de pleurs en pleurs.

    Cependant, je dois de nouveau déloger pour un autre endroit si je veux garder mes droits, obtenir une aide pour personne handicapée. Vous ne pouvez imaginer comme c'est difficile !

    Je n'ai plus de force, ni la force, je suis fatiguée, « Fatiguée » de tout ce chamboulement en si peu de temps. De plus aucune aide ne m'est apportée par les miens. Tout mon petit monde à l'air de m'oublier.
    Moi, la femme qui n'a jamais délogé de son petit coin de village et qui y a aid" tous ces frères et sœur lors de leur séparation, MOI, ils m'abandonnent. J'ai tant fait pour eux !
     
    Et ma santé qui petit à petit se détériore et qui se « Détériorera encore ».

    Je pleure, oui, j'ai pleuré en cette nuit noire.
    J'ai peur, peur de mon devenir. Moi, femme toujours « si » rangée.



    Pourquoi ma vie est-elle toujours si compliquée ? Pourquoi ne me laisse-t-on pas tranquille ? Pourquoi ?
    Tant de pourquoi qui me font parfois penser que si je n'étais venue sur cette terre, cela aurait été beaucoup mieux.
    Seulement j'y suis.
     
    La seule façon d'en ressortir est de se donner la mort, je n'en ai pas le droit, Non, pas le droit. Pourtant ce n'est pas l'envie qui m'en manque.



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  • (photo perso saxo)



    "Le manège de ma vie"

     


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