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    En ce 11 juin 2008, 25 ans de mariage aurions nous eu !!
    Mais la vie en a voulu autrement.


    Bien sûr,
    Il y a la tristesse
    De devoir se quitter...
    Il y a le regret des parents
    De nous voir nous éloigner...

              Mais,
    Il y a eu aussi nos faiblesses.
    Pour ce nouveau départ...
    Il y a surtout de nouveaux défis
    A relever...

              Alors,
    Sache que les moments
    Qu'on a partagés ensemble
    Nous appartiennent...

    Ici ou ailleurs,
    Notre amitié perdurera...
    Car rien ne saurait la briser.
    (Sauf peut-être ma mère ?)

    Ce n'est qu'un Au revoir...
    Puisse notre nouvelle route être celle
    D'une autre réussite, faite de  bonheurs

    Que "TU" mérites !

    Que "JE" mérite !.


     

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  • ... ces journées chargées (4 jours!) Me revoilà !

    Vendredi soir, oui j'ai enfin eu le courage de retourner à la répétition de notre harmonie.
    Ambiance assez décontractée, je pense qu'enfin je me re-maîtrise sur ces soirées musicales. J
    'ai juste évité de traîner plus qu'il ne le fallait après la répèt', de toute façon, j'avais besoin de sommeil car...

    Samedi, Bernard et moi-même avions décidé d'aller nous balader à la capitale. Et j'ai tellement de gros problèmes de marche, je ne puis faire la « folle » la veille.
    Arrivés à la gare du Nord, nous avons bifurqué vers la « Rue du Brabant » une rue telle "la caverne d'Ali Baba" !!

    - vêtements en tous genres : blouses, pantalons, chaussures, petites culottes, essuies ...



    - tissus de déco, d'habillement,... aux milles parures brodées.
    - de boutiques de décorations,à celles des parfums (encens, senteurs diverses, savons, ... des marques et des marques.)
    Cette journée m'a été fructueuse et tout cela pour des Prix Vraiment !!
    Alors vraiment dérisoires.
    Sauriez-vous acheté un ensemble, blouse, pantalon, chaussures, et tout cela dans des couleurs modes, pour... 7,50 euros ?

    Dimanche, fêtes des Pères. Suis allée, bien sûr, lui souhaiter une très bonne fête et lui offrir son cadeau (deux polos), ce qu'il voulait.
    Bernard, lui, ne peut venir, il n'est pas « accepté ». Dur pour lui autant que pour moi.  
    Là, j'y ai revu mon grand frère, sa compagne et leurs enfants, ma sœur est venue ensuite se rajouter aussi avec son compagnon et enfants. Mon « mari » !! Quand à lui, s'est pointé vers 11h 30. Ce n'est pas son papa, mais il est venu malgré tout. Cela m'a un peu dérangée (car bientôt je dirai mon ex.). Quant à mon plus jeune frère et "AUSSI" sa compagne, eux ne venaient qu'après 4 h., pas grave car je les vois couramment.

    Ensuite, je me suis rendue à la fête scolaire que ma fille organisait (Institutrice maternelle).
    Et pour terminer cette journée, Bernard et moi sommes allés prendre un verre sur une terrasse vu le beau temps.

    Lundi, plusieurs petits rendez-vous à gauche, à droite, chez des amis, un peu de ménage entre deux.
    Y a pas d'avance, cela doit se faire aussi. (Rire)

    Comme quoi !!

    « On ne peut être au champ et au moulin » (dicton).


    Vous ne m'avez donc pas beaucoup rencontrée ici, ce WK !!



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  • Pas eu énormément de TEMPS

    "à MOI!"

    Ces derniers jours

    je vous reviendrai, dès demain.

     

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  • Pour bien commencer la journée...

    Mais encore ne faut-il pas exagérer !!

     


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  • Remplie de tristesse, de désarroi, de honte, je traîne mon « boulet », mon corps, celui qui m'empêche de vivre mon présent, ma vie.


    J'avance et je recule.

    Cette douleur me ronge !

    En attendant, je dois me battre, contre tout : maux, angoisses, paniques, stress.

    Si je laisse tomber les bras,
    Si je ne prends pas garde à moi
    Je m'écroule.


    Mes "larmes" inondent mon intérieur.


    Saxounette n'est plus ce qu'elle était, elle doit admettre et se soumettre.

    En ce moment, tiraillements, brûlures, ... ce n'est que cela que je perçois.

    Comment vivre dans ce corps de souffrances, dans ce corps affaibli ?
    Je ne sais pas si je peux encore y croire, mais je veux prouver à la terre entière que je peux encore parvenir à faire des choses, quitte à en pleurer.

    C'est dur de s'en rendre compte, surtout pour ceux qui m'entourent !! 

    Il pleut, il pleut, cela n'arrange rien.



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