• Problème d'éducation !!!

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>« Être vrai » n'est plus une chose que l'on nous enseigne. Depuis des siècles, l'éducation a été davantage un processus dévalorisant que son contraire.
    Comme entendre « t'es capable de rien... ! T'es pas capable de... ! Petite idiote ! Pas fichue de... !
    Et, tous ces « Bravos », je suis fier de toi ! C'est bien ce que tu fais ! Que l'on entend que très rarement ??

    Si l'on fait le compte des mots de réels encouragements, des parents, frères, sœurs, enseignants, et même plus tard de son patron, ...Ils ne savent pas que ça existe et que chaque être humains pour bien vivre à besoin de tous ces assistances, pour développer sa vie et son bien être interne. Les mots, paroles, phrases, « critiques, ironiques, voire carrément dévalorisants » nous perturbe l'existence.

    Alors, le doute commence à vous assaillir, et notre comportement en devient perturbé, d'où les nombreuses questions que l'on se pose :
    - Est-ce que je suis prête à entamer une vie seule ?
    - Est-que je suis à la hauteur ?
    - Est-ce que je suis capable de « faire ceci ou cela ?
    - Est-ce que ???  .....
    Pleines de questions que l'on se pose, on doute de soit, on ne sait plus ou l'on en est, et ça c'est grave et notre vie en devient difficile.
    Et cette peur constante reste alors toujours présente en nous.

    <o:p> </o:p>
    A quand les mots et les phrases, les gestes de réconfort ?



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  • L'écoute de la MER

    Prendre ce coquilage, le coller à son oreille et rêver.....

    Ecouter le bruit que font les vagues, en signe de tempête

    Les cris des oiseaux que l'on appelle Mouettes

    Ô mer, j'entends les bruits de tes airs.

    Ô mère !! retient tes mots pour ne me déplaire.

    M'évader dans ce coquillage

    M'étendre sur l'une de tes plages.

    Laisse moi tremper mes pieds nu dans ton eau

    C'est avec plaisir de voir , claire et limpide, ton eau.

    Et dire que l'été est déjà si loin

    Et que je ne t'y ai pas rejoinds.

    La mer porte les bâteaux,

    je voudrais qu'elle porte mon fardeau.

    Reprendre ce coquillage, le recoller à mon oreille....

    Et me laisser aller a écouter tes merveilles.

     

     

     

     

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  • Des images, plus intimes que d'autres,s'inscrivent dans la mémoire avec des lettres de feu.

    On aspire à ce qui nous paraît le plus important mais on devine que quelque chose nous "échappe",

    Avec ce sentiment que si le bonheur est possible,

    il ne pourra l'être uniquement à l'aide des plaisirs et des...mensonges.

    Alors les rêves ou l'ennui provoque ces brûlures:

    "Souffrances, Futilités, Déceptions, Amertume...."

     

    ( texte de Jelholem, voir son site en cliquant ICI...)


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  •                     Ce jour, ce soir

                        Je n'ai pas eu le courage

                        D'écrire plus

                        J'ai du réfléchir,

                        Oui, " réfléchir ".

     

     

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  • "Journée pluvieuse... dehors... et dans mon cœur."

    Je viens d'aller à l'école du village où je travaille (ais) !!

    C'est le dernier jour, et voir tous ces petits enfants venir m'embrasser, me dire bonjour, alors qu'il y a presque un an que je n'y travaille plus à cause de mes opérations, maladies...
    M'ont fait pleurer.....

    Ils ne m'ont jamais oubliée et moi je ne pourrai les oublier. Cela me fait chaud au cœur, car je sais que je n'y retournerai plus, ordre du docteur.

    Mes collègues avec qui j'ai passé des années, avec qui je me suis amusée, elles près de moi lorsque je n'étais pas dans de grande forme, qui m'ont aidée à surmonter certaines épreuves de ma vie (santé de mon enfant, perte d'autres....) ; j'ai toujours été bien entourée.

    Mes enfants aussi durant leur scolarité se sont toujours plu dans cette « petite école à la grille rouge », où tous les enfants s'amusent et bougent.

    Leurs cris, me faisaient vibrer,
    leurs peines, je les consolais,
    Leurs joies, je les partageais,
    leurs blessures, je les soignais.....


    Tous ces moments de p'tits bonheurs, partagés avec eux, à la cantine comme dans la cour de récré', je les regretterai.

    Ecole des « pensées », école de Meslin, je m'y sentais bien, c'était mon école, mon domaine.


              "Maintenant je dois te quitter..

               Moi qui dans tes murs....

               y ai appris, y ai vécu.... ."







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